Book – The four Toltec Agreements | Don Miguel Ruiz
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*Article Septembre 2019 réédité
« Les quatre accords Toltèques » est LE LIVRE de référence de Développement personnel. Il permet d’apprendre à voir et vivre sereinement par la maîtrise de nos mauvaises habitudes et par l’apprentissage de notre bien-être.
L’auteur Don Miguel Ruiz nous explique que notre grille de lecture de la vie est conditionnée par notre éducation et par notre culture: les règles, les habitudes, les références, les lois, les obligations … Nous interprétons et jugeons la réalité comme si nous regardions au travers d’un écran de fumée où tout est brouillé. Nous n’avons pas choisi ce que nous savons, ce que nous croyons, et nos véritables choix sont pratiquement inexistants. Nous en sommes tous là, et cela empêche notre conscience d’émerger.
Les 4 accords nous permettent d’y voir plus clair et de faire du tri dans tout ce désordre que représente nos fausses croyances et obligations. Grace à ce livre on finit par avoir accès à ce qu’on est véritablement et à ce qu’on désire réellement.
Pour se faire, il faut respecter 4 accords simples et concerts qui, lorsqu’ils sont appliqués, changeront considérablement votre vision de la vie.
1- Le premier accord: Que votre parole soit impeccable
C’est par la parole que nous exprimons notre pensée, nos émotions, nos désirs : ce que nous sommes. Elle a un pouvoir créateur d’une extrême puissance : concrétiser les rêves, ou tout détruire. La parole peut mettre quelqu’un sur un piédestal tout comme elle peut le détruire à jamais.
Sans y faire attention nous jugeons constamment les autres, sans forcément de justifications mais juste pas jalousie ou envie. C’est assez commun et récurrent chez l’être humain qui aime médire par pur plaisir narcissique. Nous médisons sur tout et tout le monde et aussi sur nos proches. On émet des jugements de valeurs et des critiques aussi facilement que nous respirons.
Il faut savoir une chose très importante : la médisance ou l’hypocrisie n’est pas seulement néfaste pour la personne qui reçoit ce jugement, cela l’est aussi pour la personne qui l’émet. Au final, c’est notre propre mental qui est sous le joug de la négativité et du poison émotionnel.
Exemple : Dire que quelqu’un est un mauvais mari parce qu’il arrive tard et n’aide pas sa femme à faire à manger. Dire qu’une fille n’est pas correct car elle porte des jupes trop courtes. Dire qu’un stagiaire est incompétent parce qu’il ne répond pas à la demande de son patron.
En disant du mal d’autrui, on se fait du mal à soi-même. Si on se permet de juger les autre on le fait aussi pour nous : je suis stupide, je ne mérite pas d’être heureux, je suis trop gros …. Autant de paroles qui ont un effet dévastateur. Il faut absolument changer cette manière de faire t de penser !
Prendre conscience que votre parole a une importance capitale aura des effets incroyables, surtout si vous l’utilisez de la bonne façon.
Ce que nous envoyons comme haine par la parole finit toujours par nous revenir. En semant des paroles destructrices, c’est donc contre nous-même que nous agissons. En semant des paroles bienveillantes, nous nous renvoyons du bonheur.
Après avoir pris conscience de ce fait il devient évident de faire attention à notre dialogue intérieur et aux idées que nous avons de nous-mêmes et des autres. Apprenez à ne plus juger, à être indulgent envers vous-même et envers les autres ! Car juger c’est en quelque sorte agir contre soi-même..
Une parole impeccable va nous immuniser contre les mauvaises pensées et les mauvaises paroles des autres. Si nous prenons le temps de nous faire du bien, nous rendrons notre esprit fertile à recevoir des paroles impeccables.
Le bien apporte le bonheur. Le mauvais apporte le malheur
C’est pour cela que les humains résistent à la vie. Etre vivant est leur plus grande peur. Ce n’est pas la mort, mais le risque d’être vivant et d’exprimer qui l’on est vraiment qui suscite la peur la plus importante. Etre simplement soi-même, voilà ce que l’on redoute le plus. Nous avons appris à vivre en nous efforçant de satisfaire les besoins d’autrui, à vivre en fonction du point de vue des autres, de peur de ne pas être accepté et de ne pas être assez bien à leurs yeux.
(…) on élabore une image de ce qu’est la perfection afin d’essayer d’être toujours comme il faut. On crée une image de ce que l’on devrait être pour être accepté par tout le monde. En particulier, nous nous efforçons de plaire à ceux qui nous aiment (…). En essayant d’être comme il faut à leurs yeux, on construit cette image de perfection à laquelle il est impossible de se conformer. Nous avons créé cette image, mais elle n’est pas réelle. Nous ne serons donc jamais parfaits (…)
N’étant pas parfait, nous nous rejetons. (…) Nous sommes incapables de nous pardonner de ne pas être tels que nous le souhaitons, ou plutôt tels que nous croyons devoir être. Nous ne nous pardonnons pas de n’être pas parfaits.» Don Miguel Ruiz
2- Le deuxième accord: N’en faites pas une affaire personnelle
Quoi que l’on nous dise, quel que soit le jugement que l’on nous porte, cela ne peut nous toucher que si nous y donnons notre accord. Par accord, l’auteur veut dire que l’on donne l’autorisation à la personne de nous faire du mal. Nous pouvons très bien changer cet accord et décider de ne pas tenir compte de la parole négative que nous renvoie l’autre. Si les autres sont programmés et conditionnés, à juger, ce n’est pas notre problème. Nous avons notre vision du monde et nous décidons de ne pas adhérer à la vision remplies de poisons et de négativité qu’ont certaines personnes.
D’après Don Miguel Ruiz nous avons besoin de prendre tout ce qui nous arrive de façon personnelle. Ainsi, on renforce notre sentiment « d’importance personnelle », autrement dit l’importance que l’on s’accorde à soi-même. On aime se sentir important, se prendre au sérieux, cela flatte notre orgueil, et on finit par se dire que tout ce qui arrive nous concerne. Malheureusement, cela a pour conséquence de nous apporter de la souffrance.
Il faut impérativement arriver à vous détacher de votre sentiment d’importance personnelle. Et grâce à cela, tous les événements qui vous arrivent au quotidien n’auront plus d’emprise sur vous. Vous gagnerez en liberté car le regard extérieur n’aura plus d’emprise sur vous . Si l’on a conscience que quoique que l’on fasse les autres nous jugerons, alors on comprend que prendre personnellement tous ce qui nous arrive est une grave erreur.
Exemple : Si votre patron vous répond de manière désagréable ne le prenez pas personnellement. Il a peut-être des ennuis personnels ou est tout simplement de mauvaise humeur .
Quand le jugement des autres ne vous atteint plus, vous pouvez prendre vos propres décisions sans avoir peur d’être ridicule, ou de ne pas être accepté. Vous pouvez aborder qui vous voulez sans aucune crainte. Chacun est responsable de ses décisions, mais pas de celles des autres. Il faut donc prendre confiance en soi et en ses décisions, pour ne plus être dépendant des autres.
Le jugement ne concerne que celui qui juge, pas celui qui est jugé.
3- Le troisième accord : Ne faites pas de suppositions
Comme on a peur, on ne pose pas de questions, du coup on imagine des choses qui n’ont rien à avoir avec ce que la personne pense réellement. On finit par la condamner pour des intentions qu’elle n’a jamais eues, et on la rend responsable de nos problèmes.
Avec nos croyances et nos jugements nous interprétons tout de travers et adaptons nos points de vue à ce qui nous arrange. Nous voulons les réponses aux milliers de questions que nous nous posons, mais la peur nous paralyse et nous empêche de les exprimer, alors nous imaginons les réponses pour nous rassurer.
Dans nos relations, nous imaginons que les autres pensent comme nous, et à chaque fois que cela s’avère faux, nous leur en voulons. Nous les aimons, non pas comme ils sont, mais comme nous voudrions qu’ils soient. On suppose qu’ils savent ce qu’on pense, ce qu’on veut, ce qui nous ferait du bien … c’est un leurre ! L’autre est une entité totalement différente de nous. Nous oublions souvent que chacun à sa propre perception du monde, que chacun réagit différemment à des situations semblables
Le problème c’est qu’à force faire des suppositions nous finissons par les croire.
Exemple : Reprenons l’exemple précédent du patron qui répond de manière agacée à son employé. Ce dernier ne doit pas faire des suppositions sans savoir. Il ne doit pas commencer à imaginer que patron ne l’aime pas, qu’il veut le renvoyer ou qu’il est insatisfait de son travail. Faire de telle supposition le rendra tout simplement stressé et mal dans sa peau .
En faisant des suppositions nous interprétons des évènements en leur donnant le sens que nous pensons qu’ils ont. Ensuite, nous nous convainquons que ces interprétations sont le reflet de la réalité. Au final, nous prêtons des intentions aux autres sur la seule base de suppositions, souvent erronées, auxquels nous nous sommes convaincu de croire.
Le paradoxe avec les suppositions c’est que souvent on en veut aux autres pour des choses qu’ils n’ont pas faites. C’est assez stupide quand on y réfléchit. Au lieu de cela, osez poser des questions. Vous vous éviterez ainsi de nombreux problèmes inutiles.
4- Le quatrième accord : Faites toujours de votre mieux
Comme vous avez pu le voir, les quatre accords Toltèques sont des mantras très simples à comprendre. Malgré cela, pour que vous puissiez en tirer de réels bénéfices il est nécessaire que vous suiviez le quatrième accord et que vous fassiez toujours de votre mieux.
Faire de son mieux c’est quoi ? C’est faire que chaque tâche que vous réalisez, vous la réalisiez en donnant le meilleur de vous-même. C’est être concentré sur le présent, être totalement absorbé par ce que vous faîtes, et le faire bien.
Il faut donc faire de son mieux, ni plus ni moins. Si vous vous acharnez à vouloir faire toujours mieux que ce que vous pouvez, vous vous épuiserez et prendrez finalement plus de temps à atteindre vos objectifs. Si vous faites moins que ce dont vous êtes capable vous ne progresserez pas, ou peu. La progression devient optimale lorsque vous faites de votre mieux, ni plus ni moins. Il faut cependant être attentif à ne pas émettre de jugement envers soi-même.
Faire de son mieux permet d’évoluer en acceptant nos limites, en estimant correctement nos capacités, en reconnaissant nos erreurs et en améliorant notre conscience.
Faire de son mieux permet d’éviter l’inaction et de poser l’action juste dans le moment présent, évitant la référence au passé et les souffrances qui peuvent en découler.
Source de l’Article « Les Mots Positifs » : https://www.lesmotspositifs.com/blogue/apprendre-a-voir-et-vivre-sereinement-les-4-accords-tolteques/
Je vous recommande vivement cet excellent livre que j’ai lu et beaucoup aimé :
-
Les quatre accords Toltèques de Don Miguel Ruiz. et en EBOOK
Livre : 141 pages. Poche : 8 janvier 2016. Note : 4,6 sur 5 et 14186 avis sur Amazon
Sur la FNAC : Les Quatre Accords Toltèques.
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Merci pour cet article concernant Les quatre accords toltèques que j’ai lu en 2008. Il existe également un livre du même auteur intitulé :
Le Cinquième Accord Toltèque
Dans son best-seller mondial, Les Quatre Accords Toltèques, Don Miguel Ruiz révélait comment le processus éducatif, notre « domestication », nous fait oublier la sagesse inhérente avec laquelle nous venons au monde. Tout au long de notre vie, nous concluons en effet des accords qui vont à l’encontre de ce que nous sommes et nous nous créons ainsi des souffrances inutiles. Les Quatre Accords Toltèques servent à briser ces accords qui nous limitent, pour les remplacer par d’autres qui nous procurent la liberté, le bonheur et l’amour. Aujourd’hui, aidé de son fils Don José Ruiz, Don Miguel jette une nouvelle lumière sur Les Quatre Accords Toltèques, auxquels ils en ajoutent ensemble un cinquième très puissant, afin que nous puissions faire un véritable paradis personnel de notre vie. Le Cinquième Accord Toltèque nous donne accès à un niveau de conscience de la puissance du Soi encore plus puissant qu’avant, nous restituant du même coup l’authenticité avec laquelle nous sommes venus au monde. Dans cette suite très attendue au livre qui a déjà changé la vie de millions de personnes de par le monde, les Ruiz nous remettent en mémoire le plus grand cadeau que nous puissions nous faire : la liberté d’être qui nous sommes vraiment. En nous donnant les outils pour y parvenir.